Banques d’images et de vidéos gratuites pour vos contenus
Si vous utilisez les réseaux sociaux et tentez de rendre plus visible vos activités, vous aurez très certainement besoin des liens qui vont suivre.
Lorsque l’on vend de la marchandise ou des objets, les images et photos que l’on utilise sont bien souvent celles de nos propres produits. Un restaurant diffusera par exemple la photo de son plat du jour, un magasin de décoration celle des meubles ou des objets tendances, mais que diffuser quand on propose un service ?
Nous pouvons trouver des images et des vidéos partout sur internet mais nous n’avons pas toujours le droit de les utiliser. En effet, elles ne nous appartiennent pas et, à moins de les acheter, il est interdit de les télécharger.
Heureusement, il existe des banques d’images et de vidéos gratuites. Voici la liste de certaines d’entre-elles, cliquez sur le nom pour accéder à la banque d’images et de vidéos :
- Pixabay : la plus connue et populaire, plus d’1 million de photos
- Unsplash : canadienne, filtre de recherche avancé (par couleur, thèmes, mots-clés)
- StockVault : rédacteurs, graphistes, webdesigners
- StockSnap: d’origine anglaise, images classées par popularité
- Burst : créé par Shopify et recommandé pour les entreprises et plateformes e-commerce
- NegativeSpace : visuels abstraits
Le statut et la reconnaissance des influenceurs
Vous savez probablement ce qu’est un influenceur ?
C’est, pour résumé rapidement, un-e internaute qui partage les contenus d’une marque, la plupart du temps des produits, souvent sous forme de vidéos. On les retrouve donc en grande partie sur les réseaux sociaux tels que YouTube, TikTok ou Instagram. L’influenceur met en scène le produit (vêtement, maquillage, accessoire) et fait ainsi gagner de la notoriété à cette marque qui le/la rémunère en contre partie. Le business des influenceurs peut-être très rentable mais il y a aussi eu quelques dérives.
Ainsi, suite à une enquête menée à ce sujet et, afin de régulariser la situation, que ce soit du côté influenceurs comme du côté entreprises, Le Ministère de l’Economie et des finances organise lundi 20 mars 2023 une réunion conclusive, qui sera suivie d’une conférence de presse. Le but : protéger les influenceurs et mettre l’accent sur les dérives en notamment rendant obligatoire les mentions légales et le respect de la réglementation sur la publicité.
source Ministère de l’Economie et des finances
Pour plus d’informations sur l’utilisation de vos réseaux sociaux — > https://www.mbcgic.com/community-management-gestion-des-reseaux-sociaux-ligne-editoriale-calendrier-des-publications/
Micro / Auto-Entreprises: les règles de facturation
Le statut de micro-entreprise (maintenant Entreprise Individuelle) a beaucoup d’avantages : la rapidité de création, un faible investissement de départ (nul besoin d’apporter un capital), la possibilité de travailler en tant que salarié-e en parallèle. Cette facilité incite beaucoup de personnes à franchir le cap et à se lancer dans l’entrepreuneuriat.
Il y a tout de même des règles à respecter. En dehors des déclarations mensuelles ou trimestrielles à faire auprès de l’ URSSAF, les auto-entrepreneur-e-s doivent respecter les règles de facturation applicables à toute Entreprise, quel que soit son statut.
Tout d’abord, pour toute entreprise assujettie à la TVA, la facturation électronique sera obligatoire à partir de janvier 2024 pour les grandes entreprises, janvier 2025 pour les entreprises intermédiaires et janvier 2026 pour les PME et micro-entreprises.
Les factures doivent être facturées en Euros, être rédigées en langue française et issues en 2 exemplaires. Vous pouvez sous certaines conditions facturer dans une monnaie étrangère sous réserve que la devise étrangère soit reconnue internationalement et convertible (dollar ou livre sterling par exemple) et que la réintégration dans la comptabilité de l’entreprise se fasse en euros.
La rédaction en langue étrangère est également possible, l’administration pourra alors exiger la traduction certifiée par un traducteur juré, pour contrôle).
Les factures doivent obligatoirement contenir les mentions suivantes :
- date de la facture
- numéro de la facture
- date de vente ou de la prestation de service
- la dénomination sociale ou nom et prénom pour un entrepreneur individuel
- l’adresse du siège social et l’adresse de facturation (si différente)
- le numéro de Siren ou Siret, la forme juridique et le capital social (pour les sociétés), le numéro RCS et ville du greffe d’immatriculation (pour les commerçants), le numéro au répertoire des métiers et département d’immatriculation (pour les artisans)
- L’identité de l’acheteur ou du client
- Le numéro du bon de commande
- le numéro TVA (si applicable)
- désignation et décompte des produits ou services vendus
- prix HT et TTC, somme totale à payer
- adresse de facturation
- information sur paiement
- durée de garantie légale, mentions légales
- régime de franchise TVA si applicable
- mention de l’assurance souscrite par le vendeur au titre de l’activité
Si les règles de facturation ne sont pas respectées, le vendeur risque une amende fiscale de 15€ par mention manquante ou inexacte et une amende administrative de 75 000€ pour une personne physique, 375 000 € pour une personne morale.
Ami-e-s Entrepreuneur-e-s soyez vigilants !!
Plus d’informations ici — > https://www.economie.gouv.fr/entreprises/factures-mentions-obligatoires
source Ministère de l’Economie et des finances